Logarithme népérien : corrigé des exercices de maths en terminale en PDF.

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1 mars 2025

Le corrigé des exercice de maths sur le logarithme népérien et l’utilisation des formule et calcul de limites en terminale.

Exercice 1 :

Exercice 2 :
Simplifier les expressions suivantes :

Exercice 3 :

Soit n un entier naturel non nul et a un nombre réel strictement positif.

Exercice 4 :

Etudier les limites suivantes :

a.

b.

c.

d.

d.

e.

f.

Exercice 5 : 

Exercice 6 :
Résoudre dans chacune des équations suivantes :

a.

b.

c.

d.

e.

Posons

Exercice 7 :

Exercice 8 :
Déterminer la fonction dérivée de la fonction f sur l’ensemble

a.

b.

c.

Exercice 9 :

Si a est un zéro de P(z)  alors on doit avoir :

a^3 + (2i-5)a^2 +7(1-i)a -2+6i =0

soit

a^3-5a^2 +7a-2 + i(2a^2 -7a +6) =0

soit le système d’équations

\left\{\begin{matrix} & a^3 -5a^2 +7a-2 = 0 \\ & 2a^2 -7a +6 = 0 \end{matrix}\right.

On constate facilement que 2 vérifie simultanément les deux équations c’est la valeur cherchée.

On écrit donc, b et c étant des complexes

(z-2)(z^2 +bz +c)\\= z^3 +bz^2 +cz -2z^2 -2bz-2c\\ = z^3 +z^2(b-2)+z(c-2b) -2c

Et par identification

2i-5 = b-2 et b= 2i-3

-(2-6i) = -2c et c = 1-3i

On est conduit à résoudre l’équation du second degré à coefficients complexes :

z^2 +(2i-3)z +1-3i = 0

\Delta =(2i-3) ^2 -4(1-3i) = -4 -12i +9 -4 +12i = 1

D’où les deux racines

z' = \frac{3-2i +1}{2}  et z'' = \frac{3-2i -1}{2}

z' = 2-i et    z'' = 1-i

donc

P(z) = (z-2)( z -(2-i))(z -(1-i))

Exercice 10 :

Résoudre les inéquations suivantes :

Exercice 11 :

Résoudre les équations suivantes :

Calculons le discriminant :

 , il y a deux racines réelles distinctes .

 

Exercice 12 :

Résoudre les équations suivantes :

Exercice 13 :

Simplifier :

Exercice 14 :

Exprimer en fonction de ln 2 et ln 3 :

Exercice 15 :

1. ln(3-5x) = 0 équivaut à 3-5x = e^0 = 1. Donc 5x = 2 et x = 2/5.

2. On peut transformer l’équation de la manière suivante :

2ln(x-4) = ln(x)-2ln(2) = ln(x)-ln(4)

En utilisant la propriété ln(a)-ln(b) = ln(a/b), on obtient :

ln( (x-4)^2 ) = ln( \frac{x}{4} )

Cela équivaut à (x-4)^2 = \frac{x}{ 4}, soit x^2-15x+16 = 0.

On résout cette équation du second degré en x et on vérifie que les solutions obtenues sont bien positives et différentes de 4.

3. ln(x+4)+ln(x+1) = ln(6) équivaut à ln( (x+4)(x+1) ) = ln(6), donc (x+4)(x+1) = 6.

On résout cette équation du second degré en x et on vérifie que la solution obtenue est bien positive.

4.ln( |x+4 |)+ln( |x+1 |) = ln(6) signifie que |(x+4)(x+1)| = 6, c’est-à-dire que (x+4)(x+1) = 6 ou (x+4)(x+1) = -6. On résout ces deux équations et on vérifie que les solutions obtenues sont bien positives.

5. On peut réécrire l’équation sous la forme ln^3x-lnx = 2-ln^2x.

En posant y = ln x, cela équivaut à y^3-y = 2-y^2, soit y^3-y^2+y-2 = 0.

On peut factoriser cette expression en (y-2)(y^2+1y+1) = 0, donc y = 2 ou y = (-1±i√3)/2. On vérifie que ces trois valeurs de y correspondent à des solutions de l’équation initiale.

6. ln( \frac{ 2x-3 }{5x+1}) < 0 équivaut à \frac{ 2x-3 }{ 5x+1 }< 1 (car ln est une fonction strictement croissante).

On résout cette inéquation et on trouve 1/3 < x < -1/5.

7. On peut réécrire l’équation sous la forme ln x - \frac{1}{ln x} < \frac{3}{2}.

On pose y = ln x et on note f(y) = y – (1/y).

L’équation devient f(y) < 3/2.

On étudie la fonction f(y) : elle est dérivable sur ]0,+∞[, sa dérivée est f'(y) = 1 + \frac{1}{y^2} > 0, donc f est strictement croissante sur ]0,+∞[.

De plus, f(1) = 0. On en déduit que l’équation f(y) < \frac{3}{ 2} est équivalente à y < f^{-1}(\frac{3}{2}).

On calcule f^{-1}(y)en résolvant l’équation y = x - \frac{ 1}{ x } en x :

y = x - (1/x) \Leftrightarrow x^2 - yx - 1 = 0

La solution positive est x = \frac{ y + \sqrt{y^2+4} }{2}, donc f^{-1}(y) = \frac{y + \sqrt{y^2+4}}{2}.

On calcule f^{-1}(\frac{3}{ 2}) et on trouve f^{-1}(\frac{3}{2}) = \frac{ln(3+ \sqrt{5})}{2}.

Finalement, les solutions de l’inéquation sont les x tels que ln x < \frac{ln(3+ \sqrt{5})}{ 2}, c’est-à-dire 0 < x < e^ {\frac{ln(\sqrt{3+ \sqrt{5}})}{2}} \approx 3,57.

tableau variations 1

tableau variations 2

Exercice 16 :

On peut comparer ces deux nombres en regardant la fonction f(x) = x^{ 1/x }, pour x > 0.

On a f'(x) = \frac{x^ {\frac{1}{ x}} (1-ln(x))}{ x^2}, donc f est croissante sur ]0,e[ et décroissante sur ]e,+∞[.

En particulier, f( e^(1/e) ) ≈ 1,44 est le maximum de f sur ]0,+∞[.

On a donc :

\pi^{e} = e^{e\ln\pi} = (e^{\ln\pi})^{e} = \pi^{e} = (\pi^{\frac{1}{\pi}})^{e\pi} = (\pi^{e\pi})^{\frac{1}{e\pi}} > (e^{\pi})^{\frac{1}{e}} = e^{\frac{\pi}{e}}

La dernière égalité est justifiée par le fait que f(e) > f(\pi) pour 0 < x < e^(1/e) et que f(x) < f(e) pour x > e^(1/e).

Finalement, on a :

\pi^{e} > e^{\frac{\pi}{e}}

Le nombre \pi^e est donc plus grand que e^{\frac{\pi}{e}}.

Exercice 17 :

g est dérivable sur son ensemble de définition en tant que somme de

fonctions dérivables sur cet intervalle .

Tableau de signes.

 

Conclusion :  sur  , f est croissant sur  .

 

Courbe d'une fonction

Exercice 18 :

1.Calculer la dérivée de la fonction g et étudier son signe. En déduire les variations de la fonction g .

Le signe de  est celui de  .

  sur  .

donc g est strictement décroissante sur  .

2. Calculer g(1). En déduire le signe de g(x) pour x appartenant à l’intervalle ]0;+ [ .

g est strictement décroissante sur  et  .

Conclusion : g est positive ou nulle sur ]0;1] et négative sur  [1;+\infty[.

Exercice 19 :

1) simplifier 

 

2) Déterminer le plus petit entier n tel que 1,05 n 1,5

La fonction ln est strictement croissante sur  ..

   (ln 1,05 <0)

3) Chaque année, la population d’une ville diminue de 3%. Au bout de combien d’année, la population de cette ville aura-t-elle diminué de plus de 30%

Exercice 20  :

Partie A:
1. Limites de la fonction g en 0 et +\infty:
Pour la limite en 0, on peut utiliser le développement de Taylor de ln(x) au premier ordre, qui est ln(x) = x - 1 + o(x) près de x=0.
Ainsi, en utilisant ce développement dans la définition de g, on obtient:
g(x) = x - xln(x) = x - x(x - 1 + o(x)) = x - x^2 + o(x^2)
Comme x^2 est une infinitésimale de plus haut ordre que x, on a \lim_{x\rightarrow 0} \frac{x^2}{ o(x^2)} = 0, ce qui implique que \lim_{x \rightarrow 0} g(x) = 0.

Pour la limite en +\infty, on peut utiliser le lemme de L’Hôpital.

En effet, on a:
\lim_{x \rightarrow +\infty} g(x) = \lim_{x->+\infty} x - xln(x) = \lim_{x->+\infty} \frac{x}{\frac{1}{ln(x)}}.

En appliquant le lemme de L’Hôpital, on obtient:
\lim_{x \rightarrow +\infty} \frac{x}{\frac{1}{ln(x)}} = \lim_{x \rightarrow+\infty} \frac{1}{\frac{-1}{ln^2(x)}} = 0.

Donc, la limite de g en +\infty est 0.

2. Calcul de la dérivée de g(x) et justification de la dérivabilité de g sur l’intervalle ]0;+\infty[:
On peut calculer la dérivée de g(x) en utilisant la formule de dérivation de la différence. On a:
g'(x) = (x)' - (xln(x))' \\= 1 - (xln(x))' \\= 1 - (x)'ln(x) - x(ln(x))' \\= 1 - ln(x).
Ainsi, g'(x) = -ln(x).

Pour montrer que g est dérivable sur l’intervalle ]0;+\infty[, il suffit de montrer que la limite du taux d’accroissement de g(x) quand x tend vers a pour tout a>0 existe et est finie. On a:
\lim_{x\rightarrow a} [g(x) - g(a)]/(x-a) \\\\= \lim_{x\rightarrow a} [(x- a) -- (xln(x)-aln(a))]/(x-a) \\\\= \lim_{x\rightarrow a} [1-ln(x)/ln(a)] = 1-ln(a)/ln(a) = 0.
Donc, la fonction g est dérivable sur l’intervalle ]0;+\infty[.

3. Tableau de variations de la fonction g:
Pour dresser le tableau de variations de g(x), on peut utiliser sa dérivée g'(x). On a:
– g'(x) est définie et strictement négative sur ]]0;+\infty[.
– g'(x) est décroissante sur ]0;+\infty[.
– Le signe de g'(x) change en x=1, donc g(x) atteint son minimum en x=1.
On obtient alors le tableau de variations suivant pour g(x):

x | 0 | 1 | +\infty
——-|——-|———|——–
g'(x) | – | 0/- | 0
g(x) | 0 | -1/e + 1 | 0

Partie B:
1. Conjecture de sens de variation et de limite de la suite (u_n):
a. Pour conjecturer le sens de variation de la suite (u_n), on peut calculer les premiers termes de la suite et observer s’ils augmentent ou diminuent. On a:

u_1 = e/1^1 \approx 2.718 \\\\u_2 = e^2/2^2 \approx 3.678 \\\\u_3 = e^3/3^3 \approx 1.909 \\\\u_4 = e^4/4^4 \approx 0.581 \\\\u_5 = e^5/5^5 \approx 0.164 \\\\u_6 = e^6/6^6 \approx 0.040

On peut remarquer que la suite diminue et atteint des valeurs de plus en plus petites.

b. Pour conjecturer la limite de la suite (u_n), on peut observer que les termes de la suite décroissent vers 0 à mesure que n augmente.

On peut également utiliser la règle de Stolz-Cesàro pour montrer que la limite de u_n est 0. En effet, on a:
\lim_{n->+\infty} \frac{u_{n+1}-u_n}{(n+1)^{n+1}-n^n} \\\\= \lim_{n->+\infty} \frac{e^{n+1}/(n+1)^{n+1}-e^n/n^n}{(n+1)^{n+1}-n^n} \\\\= \lim_{n->+\infty} \frac{e^{n+1}n^n-n^{n+1}e^n}{(n+1)^{n+1}(n^n)-(n^n)(n+1)^n} \\\\= \lim_{n->+\infty} \frac{n^n e^n}{n^n(n+1)} \frac{e}{(1+1/n)^{n+1}-1} \\\\= \frac{e}{e-1} \lim_{n->+\infty} \frac{1}{(1+1/n)^n} \\\\= \frac{e}{e-1} \frac{1}{e} = 0.

Donc, la limite de (u_n) est 0.

2. Calcul de la suite (v_n) et détermination de son sens de variation:
a. On peut calculer v_n en utilisant la formule de ln(u_n).

On a:
v_n = ln(u_n) = nln(e) - nln(n) = n(1-ln(n)).

b. Pour déterminer le sens de variation de la suite (v_n), on peut étudier le signe de sa dérivée v'_n = 1-ln(n)-n(-1/n^2) = 1+1/n-ln(n).

On observe que la dérivée est positive pour n=1 et décroissante sur ]1;+\infty[, donc la suite (v_n) est décroissante sur ]1;+\infty[.

3. Montrer que la suite (u_n) est bornée:
On peut montrer que la suite  (u_n)  est bornée en utilisant l’inégalité de Bernoulli (1+x)^n \geq 1+nx pour tout x>-1 et tout entier naturel n. On a:
u_n = \frac{e^n}{n^n} = \left(1 + \frac{e-1}{n}\right)^n \le \left(1 + \frac{e-1}{n}\cdot n\right) = e.
Ainsi, la suite (u_n) est majorée par e et donc bornée.

4. Montrer que la suite (u_n) est convergente et déterminer sa limite:
On peut utiliser le théorème de Bolzano-Weierstrass pour montrer que la suite (u_n) admet une limite. En effet, comme on a montré que la suite (u_n) est bornée, elle admet une sous-suite convergente.

On peut également utiliser la propriété des suites adjacentes pour déterminer la limite de (u_n).

Pour cela, on construit deux suites (a_n) et (b_n) telles que a_n \leq u_n \leq b_n et \lim_{n \rightarrow +\infty} (b_n-a_n) = 0.

On peut prendre par exemple:
a_n = 0 pour tout n, et b_n = e pour tout n (on a montré que u_n ≤ e pour tout n).
– On a

\lim_{n \rightarrow +\infty} b_n/a_n \\\\= \lim_{n \rightarrow +\infty} e^2/((n+1)^{n+1} \times e^n)\\\\ = \lim_{n \rightarrow +\infty} e/(1+1/n)^{n+1} \\\\= e/e^2 \\\\= 1/e.
Donc, la suite (u_n) converge vers la limite commune des deux suites adjacentes (a_n) et (b_n), qui est 0.

tableau de valeurs

tableau de variations

Exercice 21 :

1. Démonstration de f(x) = xln2 - 2lnx:
On a f(x) = ln(2^x) – ln(x^2) = xln2 – 2lnx par les propriétés des logarithmes.

2. Calcul de f(2) et f(4):
On a f(2) = 2ln2 - 2ln4 = 2ln2 - ln(16) = 2ln2 - 4ln2 = -2ln2.

De même, on a f(4) = 4ln2 - 2ln16 = 4ln2 - 4ln2 = 0.

3. Calcul de la dérivée f ‘ de f:
On peut calculer la dérivée de f(x) en utilisant la formule de dérivation de la différence et les propriétés des logarithmes. On a:

f'(x) = (xln2 - 2lnx)' = x'ln2 - (2lnx)' = ln2 - \frac{2}{ x}.

4. Signe de f(x):
Pour déterminer le signe de f(x), on peut étudier le signe de sa dérivée f ‘(x):
– f ‘(x) est définie et strictement négative sur ]0;+\infty[.
– f ‘(x) est décroissante sur ]0;+\infty[.
On en déduit que la fonction f est décroissante sur ]0;+\infty[.

En particulier, pour tout x>2, on a f(x) < f(2) = -2ln2.

5. Ensemble des entiers n pour lesquels 2^n \geq n^2:
On peut réécrire cette inégalité sous la forme d’une exponentielle: n^2 \leq 2^n.

On remarque que les deux membres de l’inégalité sont des fonctions croissantes de n pour n > 0, donc l’inégalité est vraie pour un nombre fini d’entiers.

On peut ensuite vérifier pour chacun des entiers n si l’inégalité est vraie.

Par exemple, pour n=1, on a 2^1 \geq 1^2, donc l’inégalité est vraie pour n=1.

De même, pour n=2, on a 2^2=4 \geq 2^2, donc l’inégalité est vraie pour n=2.

Pour n=3, on a 2^3=8 \geq 3^2=9, donc l’inégalité est vraie pour n=1, 2 et 3.

On peut poursuivre le raisonnement pour les valeurs suivantes de n, jusqu’à trouver le plus grand entier satisfaisant l’inégalité:
– Pour n=4, on a 2^4=16 \geq 4^2=16, donc l’inégalité est vraie pour n=1, 2, 3 et 4.
– Pour n=5, on a 2^5=32 \geq 5^2=25, donc l’inégalité est vraie pour n=1, 2, 3, 4 et 5.
– Pour n=6, on a 2^6=64 \geq 6^2=36, donc l’inégalité est vraie pour n=1, 2, 3, 4, 5 et 6.
– Pour n=7, on a 2^7=128 \geq 7^2=49, donc l’inégalité est vraie pour n=1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7.

On peut ensuite remarquer que pour tout entier n ≥ 8, on a 2^n > n^2, donc l’inégalité n’est plus vraie. Ainsi, l’ensemble des entiers n pour lesquels on a 2^n \geq n^2 est {1, 2, 3, 4, 5, 6, 7}.

tableau de variations

 

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